Nous sommes fiers d’annoncer que Guillaume Canaud, responsable de l'équipe Médecine translationnelle et thérapies ciblées et médecin à l’hôpital Necker Enfants Malades, fait partie des 15 lauréats de la nouvelle vague des Chaires d’excellence en Biologie / Santé lancées dans le cadre de France 2030, un programme ambitieux visant à renforcer l’attractivité de la recherche biomédicale française.
Nous sommes heureux d’annoncer que l’équipe de Nicolas Venteclef, Immunité et métabolisme du diabète (Immediab), s’est vu décerner le prestigieux label équipe FRM, marque d’excellence scientifique attribuée par la Fondation pour la Recherche Médicale.
Nous sommes heureux d’annoncer que l’équipe de Fabiola Terzi, Mécanismes et stratégies thérapeutiques des maladies rénales chroniques, s’est vu décerner le prestigieux label équipe FRM, marque d’excellence scientifique attribuée par la Fondation pour la Recherche Médicale.
Cette reconnaissance vient soutenir leurs recherches sur les maladies rénales chroniques (MRC), une pathologie qui touche environ 10 % de la population adulte mondiale et peut évoluer vers une insuffisance rénale terminale nécessitant une dialyse ou une transplantation.
Et si la bande dessinée pouvait vous expliquer le cycle de vie des phages, et même des phages filamenteux ? C’est le pari relevé avec talent par Lison Reboul, doctorante au sein de l’équipe Biologie intégrative des interactions hôte-pathogène (dirigée par Mathieu Coureuil et Anne Jamet).
Avec clarté et créativité, Lison a transformé son sujet de thèse en un outil de vulgarisation scientifique visuel, accessible à tous. Une belle manière de partager la recherche au-delà du laboratoire !
Une publication récente de l’équipe de Mario Pende, en collaboration avec le laboratoire de Nathalie Spassky (IBENS), met en lumière le rôle central de la voie métabolique mTORC1 dans la différenciation des cellules épendymaires (épendymocytes), des cellules gliales multiciliées qui bordent les ventricules cérébraux.
Une étude menée par les équipes de Fabiola Terzi et Marco Pontoglio, récemment parue dans Science Translational Medicine, apporte un nouvel éclairage sur les mécanismes impliqués dans la glomérulonéphrite extracapillaire, une pathologie rénale rare et sévère.